Comment faire de votre mari un Travesti docile 1 (Roman)

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem TV trans travesti sissy
il y a 3 ans

Vendredi 25 Juillet 2003 Mon arrivée chez Maitresse

Ce vendredi soir Maîtresse est venu me chercher à la sortie de mon travail. Comme Maîtresse me l'avait annoncé, Maîtresse me conduirait chez son amie Chantal durant mes cinq semaines de congés afin de m'éduquer et de permettre à Maîtresse de partir en voyages avec des amis.

De retour à la maison ; ayant repassé et rangé le linge de Maîtresse dans ses valises la veille, Maîtresse me fit charger ses baguages sur la banquette arrière de sa voiture. Une fois ces taches accomplies je lui demandais de m'indiquer ce que je devais préparer pour mon séjour. Maîtresse me regarda d'un air moqueur et me lança :

  • " Tu ne prends rien ! Ne crois pas que tu vas chez mon amie en vacances, mais c'est pour t'éduquer que je te prête. Alors pour t'enlever l'envie de te sauver ou de rentrer ici, Chantal a demandé de ne rien apporter. Pas de papier d'identité, pas de vêtements, c'est elle qui t'habillera. Commence par prendre une douche et attends moi ! ".

J'obéis sans attendre car le ton de Maîtresse ne me laissait pas le choix. Mes habits masculins ôtés mais toujours avec ma cage de chasteté sur le sexe je pris une douche et une fois sortie je m'enveloppais dans un peignoir. Maîtresse vint me rejoindre et m'ordonna de passer une paire de bas auto fixant noirs et un body string noir lui aussi, une fois vêtu, elle me dit :

  • " Tu es prêtes Edith ? On va partir chez Chantal dès ce soir. Je passerais quelques jours avec vous car mon avion ne décolle que le 30 juillet. Pendant le trajet tu voyageras dans le coffre de la voiture, ça te donneras un avant goût de vacances ".

Sa phrase se termina par un rire moqueur et Maîtresse m'indiqua la sortie du doigt. Pratiquement nue dans ce body string qui ne cachait pratiquement rien de mon anatomie, je m'allongeais dans le coffre de la voiture. Sans attendre Maîtresse me lança un :

  • " Bon voyage Edith ".

Et la porte de la malle se referma. Dans cette position très inconfortable sans repère, plongée dans l'obscurité totale le parcours me sembla interminable. Cela me donna l'occasion de méditer sur mon sort. Moi qui fantasmais sur la soumission, j'étais aspirée dans une spirale infernale depuis le 4 décembre 1994. Passé de l'état de mari embourgeoisé à l'état d'esclave docile, féminisé, impuissant et engodé au bon vouloir de Maîtresse Régine.

Après une route interminable la voiture se stationna et j'entendis ma Maîtresse refermer la voiture et s'éloigner. Une demie heure plus tard il me semble, Maîtresse entrouvrit la malle pour me jeter deux tranches de pains en guise de souper. Pain que Maîtresse avait du récupérer lors de sa halte dans un Restoroute car immédiatement après cette halte la voiture redémarra pour un trajet aussi long que le précédent.

Soudain la voiture a ralenti et s'est immobilisé sur des gravillons. Mon calvaire autoroutier semblait tenir à sa fin car j'entendis Maîtresse saluer Chantal et cette dernière de demander :

  • " Tu as fait bonne route Régine ? Et ta bonniche où est elle ? ".

  • " Je l'ai placé dans la malle pour le trajet ! ".

J'entendis leurs voix s'éloigner et je restais désespérément enfermée dans la malle de la voiture.

Je dus m'assoupir quand soudain la malle s'entrouvrit, Maîtresse m'ordonnant enfin de sortir.

Dans le crépuscule de cette fin de mois de Juillet, je m'aperçus que nous étions dans une cour de fermette, la maison en " L " d'un côté faisait face à une grange et un mur avec un porche constitué une grande cour close gravillonnée. Maîtresse me fit décharger ses valises et me montra d'un signe de tête la porte de la maison.

Maîtresse m'ordonna de déposer les baguages dans le hall et dit :

  • " Viens que je te présente à Chantal ".

J'avais déjà à deux reprises vu Chantal il y a plus de dix ans, c'était aux vins d'honneur de notre mariage puis quelques mois après lors d'un repas chez des amis de mon épouse à l'époque ou elle travaillait en Picardie. C'est pourquoi j'appréhendais de me présenter à moitié nue dans ma nouvelle condition d'esclave devant cette femme. Maîtresse me poussa dans le salon et m'annonça ainsi :

  • " Tu connaissais Bruno mon mari et bien, je te présente maintenant Edith ma bonniche ".

J'étais dans ce body au centre du salon les mains devant en guise de cache sexe, face à cette femme qui me toisait sans mot, décrivant un cercle autour de moi. Ces minutes ou plutôt cette minutes de silence et d'intense humiliation morale me parut un siècle. Chantal tenait à le main une cravache, elle avait un peu changé en dix ans ; c'était une assez grande femme, la bonne quarantaine aux cheveux long et raides châtains foncés, presque noirs. Elle était vêtue d'une courte jupe d'été qui dissimulait mal les rondeurs et formes accumulées au fil des ans. Sa poitrine déjà généreuses par le passé semblait désormais lourde et opulente jusqu'à en tendre la boutonnière de son chemisier. Soudain elle s'adressa à moi :

  • " Quel est la signification de ton tatouage sur ta fesse gauche Edith ? ".

Gênée et d'une voix hésitante je balbutiais :

  • " C'est en souvenir du premier godemiché que j'ai reçu dans l'anus que Maîtresse m'a fait tatouée ".

J'avais à peine fini ma phrase que sa cravache me cingla le torse de deux coups et me lança :

  • " Désormais lorsque tu t'adressera à moi tu termineras tes phrases par un Madame pour me montrer ton respect, et place tes mains sur tes hanches afin que je vois ton sexe ou plutôt se qui te sert à uriner, compris ? ".

  • " Oui Madame ".

Afin d'éviter d'autres coups de cravache, je dévoilais la cage de chasteté que Maîtresse avait posé. Madame félicita Maîtresse pour le travail qu'elle avait accompli sur ma personne. Mais ajouta qu'il restait du travail à accomplir tant au point moral que physique et que le dressage du mois d'août contribuerait à me rendre plus humble. Madame m'ordonna de m'agenouiller sur le rebord du foyer de la cheminée, face contre le mur.

Quant à Maîtresse et Madame Elles s'installèrent dans le canapé derrière moi afin de discuter. Elles parlaient de moi ; j'entendit Maîtresse dire qu'elle ferait une démonstration de nos séances dominicales avant son départ et d'ajouter que depuis le 4 décembre 94 mon sexe était pratiquement toujours entravé par une cage de chasteté et n'avait servi que pour pisser tout au plus. Madame elle, me voulait pas dévoiler tout son programme de dressage en ma présence mais ne manquerait pas de faire dès dimanche une petite séance devant Maîtresse pour donner le ton.

Le temps passait, l'arête des briques du foyer commençait à me blesser les genoux. Pourtant je n'osais bouger le souvenir de la cravache encore présent sur ma poitrine meurtrie. Elles décidèrent ensuite de se coucher et Madame me dit :

  • " Lèves toi Edith, tu vas porter les valises de ta Maîtresse dans sa chambre ".

J'obéis rapidement en acquiesçant d'un :

  • " Oui Madame ".

Bien trop heureuse de pouvoir me lever (j'utilise le féminin lorsque j'écris sur ordre de Maîtresse depuis qu'elle m'a rebaptisé Edith). Une fois les bagages posés dans la chambre du premier, afin que Maîtresse puisse se reposer, Madame et Maîtresse décidèrent d'un commun accord que je passerais la nuit avec Madame.

Cela ne m'inspirait rien de bon. En effet une fois que les deux amies se soient souhaitée bonne nuit je dus suivre Madame dans sa chambre, là Madame me fit asseoir sur le sol au pied de son lit, m'entrava le poignée gauche à la cheville droite et le poignée droit à la cheville gauche à l'aide de deux menottes. Puis me serra un collier avec anneau autour du cou, enfin l'anneau du collier fut attacher au bout d'une laisse dont la poignée était coincée sous un des pieds du lit. Madame partie se déshabiller dans la salle de bain. De retour en nuisette,

Madame me fit coucher sur le côté totalement entravée, afin de lui servir de marche pieds pour se coucher dans le lit et d'ajouter avant d'éteindre la lumière :

  • " Voilà un avant goût Edith, c'est comme cela que je traite les chiennes ! Médite autant que possible cette nuit ! ".
Chapitre 2 Samedi 26Juillet 2003 La naissance d'une blonde

La nuit du vendredi au samedi fut pour moi un calvaire, les menottes blessant mes poignées et chevilles.

Madame se réveilla vers neuf heures m'utilisant comme marche pieds au passage pour descendre de son lit. Madame me libéra des menottes et de la laisse et nous descendîmes à la cuisine. Là Maîtresse était déjà levée. Madame me fit rester debout dans un coin. Maîtresse semblait m'ignorer totalement ; m'ayant cédée à Madame pour les vacances je devenais la propriété de Madame.

Après leur petit déjeuner Madame m'ordonna de faire la vaisselle avant de s'occuper de moi. Le programme était mon habillement d'après ce que j'avais pu entendre de leur conversation.

En effet une fois la vaisselle terminée et rangée je dus suivre Madame et Maîtresse dans la salle de bain. Madame fit couler un bain et retira le collier que j'avais autour du cou. Pendant que la baignoire se remplissait Madame expliqua à Maîtresse qu'elle souhaitait me féminiser totalement durant les vacances et qu'une coloration de mes cheveux en blond, suivie d'une permanente était nécessaire afin d'éviter l'emploi de perruques.

Maîtresse y avait déjà songé mais mon travail quotidien au bureau lui en avait ôté la possibilité. Maîtresse se réjouit de l'opportunité des cinq semaines de congés où j'allais avoir enfin une vraie tête de bonniche.

Madame me fit agenouiller face à la baignoire la tête en avant et entrepris de me décolorer les cheveux. J'avais jusque là les cheveux châtain mi-long et la perspective de me découvrir en blonde platine permanentée me terrifiée ; comment vais je retrouver une apparence masculine au vue de mes collègues ? Il sera sûrement nécessaire de les couper très court avant la reprise du travail en septembre. Enfin je n'en étais pas encore là et de nombreuses situations de soumissions et d'humiliations aller sûrement m'attendre avant la reprise du travail.

Sans mot Madame me lava les cheveux puis m'enduit ceux ci d'une crème il me semble et termina en m'enveloppant le crâne de papier aluminium et d'un filet à cheveux. Après cette opération Madame sortit une petite tondeuse électrique de sa commode et me demanda :

"En attendant que le produit agisse sur tes cheveux, passes donc un coup de tondeuse sur tes poils pubiens ainsi que sous tes aisselles pour dégrossir le travail, tu termineras au rasoir une fois dans le bain " .

J'étais piégée, les derniers signes de ma pseudo virilité disparaissaient un à un. En effet jusque là Maîtresse ne m'imposait que l'épilation du torse et des jambes une fois par semaine, désormais comme le fit remarquer Maîtresse :

"Tu te rends compte Edith, tu vas avoir la peau lisse et douce comme une jeune pucelle ! ".

Je maniais la tondeuse avec soin d'abord sous les bras, puis autour de mon sexe me contorsionnant en pauses obscènes devant Madame et Maîtresse.

Une fois le sexe débroussaillé Madame me fit ramasser les poils au sol afin d'en remplir une enveloppe en guise de souvenir. Le ramassage achevé Madame me fit asseoir dans la baignoire, me donna une bombe de gel à raser et un rasoir pour femme, afin de m'épiler de près. Madame séquenca le rasage :

"Tu commences par les jambes, les aisselles, le torse et enfin le sexe, sans oublier bien entendu ton petit trou " .

Je me levais utilisant le bord de la baignoire comme repose pied, tantôt étalant de petite noix de gel sur ma peau tantôt décrivant des courbes au rasoir sur mes jambes. Les poils n'étaient pas bien longs car Maîtresse m'imposait une épilation à la crème tous les dimanches en ce qui concerne mes jambes et mon torse. Le touché d'une jambe velue n'étant plus qu'un lointain souvenir depuis ma condition d'esclave. Seul mes poils pubiens nécessitèrent le passage de la lame plusieurs fois. Le passage de mon anus au rasoir fut l'occasion de railleries de la part de Madame :

  • "On voit bien que se cul est travaillé régulièrement ! Bientôt on ne pourra plus parler de petit trou mais de gouffre ! Et puis quelle idée géniale ce tatouage fessier, tu ne peux vraiment plus rien cacher à quiconque Edith ".

Cette phrase se termina par un fou rire de Madame et Maîtresse. Madame termina cette séance d'épilation par un rinçage de mon corps à l'aide de la douchette et me dit :

  • "Tant que tu resteras à ma disposition, j'exige un corps parfaitement lisse. Tu aviseras si un rasage quotidien est nécessaire, à toi de voir. Mais tous manquements à cette élémentaire règle de féminité sera sévèrement puni ! ".

Madame ensuite retira le filet et le papier aluminium qui m'enveloppait les cheveux, les rinça et sans que je fasse autorisée à regarder le résultat dans le miroir, elle étala un lait de henné blond sur ma tête afin expliquait elle à Maîtresse d'apporter une touche platine à ma chevelure. Le temps d'attente d'action du henné fut l'occasion de me replonger dans la baignoire pour me laver le corps.

Dix minutes plus tard Madame me rinça à nouveau les cheveux, et une fois sortie de la baignoire, le corps enveloppé d'un peignoir Madame m'intima l'ordre de m'asseoir devant la coiffeuse. Le grand miroir qui me faisait face était recouvert d'un drap de bain afin que je ne puisse découvrir mon visage avant s échange de mes cheveux.

C'est Maîtresse qui me les sécha à l'aide d'un séchoir à main. Les ricanements et gloussements de Madame et Maîtresse ne me laissaient envisager rien de bon.

Une fois le séchoir arrêté Maîtresse retira le drap de bain du miroir et je découvris ma chevelure désormais blonde. Ce fut un réel choc, j'avais certes depuis décembre 1994 l'habitude de me voir avec des cheveux différents mais jusque là il s'agissait de perruques et le matin arrivé, je retrouvais une allure masculine pour le travail. Cette fois ci c'était réellement mes cheveux qui étaient blond, un blond platine à la Pamela Anderson. Je ne pus retenir mes larmes.

Me voyant pleurer silencieusement Madame s'adressa à moi et me dit d'une voie rassurante comme pour mieux se moquer :

  • "Ne t'inquiètes pas, le travail n'est pas terminé, il reste la permanente que nous ferons demain. Tu connais la chanteuse Indra ? ".

Je répondais la voie en sanglot d'un :

  • "Oui Madame ".

  • "Tu n'as pas les cheveux bien long mais je te promet une tête blonde et bouclée comme elle ".

Je repris mes esprits car il fallait bien se faire une raison, j'avais une tête de drag queen au moins jusqu'à la fin août.

Le peignoir retiré, nue je suivais Madame dans la chambre qui allait être mienne durant ce mois et où un jeu m'attendait.

La chambre était située dans les combles au dessus de la chambre de Madame. Le mobilier se composé d'un lit de deux personnes, d'une coiffeuse, d'un pouf et d'une grande armoire. Un lavabo et une corde à linge complétaient ce mobilier. Madame dicta la marche à suivre :

  • "L'armoire est remplie d'anciens vêtements m'ayant appartenu. Tu sembles faire à peu près la même taille que moi. Alors le jeu consiste à t'habiller en femme, avec goût sachant que ta Maîtresse et moi avons choisi une tenue type. Tous écarts avec la tenue type sera punis. Nous te laissons un quart d'heure pour t'habiller ".

Sa phrase finie Madame m'enferma à clef, seule dans la chambre. Je n'avais pas de temps à perdre d'ailleurs pas d'autre choix que d'obéir. Dans la penderie il y avait des robes et des jupes, une dizaine au totale. Tandis que sur les étagères était disposés ; de la lingerie, des chemisiers et des gilets. Le bas de la penderie quant à lui était jonché de paire de chaussures.

Je décidais de m'habiller sobrement étant persuadée que la fin de la journée serait consacrée aux tâches ménagères comme d'habitude avec Maîtresse. Je lançais donc mon dévolue sur un ensemble de lingerie en dentelle blanc, composé d'une culotte et soutien gorge assorti. La culotte était presque à ma taille, le tour de poitrine du soutien gorge aussi, tandis que j'avais bien du mail à remplir les bonnets (C) malgré le gras que j'avais sur le torse. Afin de rester dans la tenue la plus bonniche possible, je continuais mon travestissement en enfilant une paire de collant voile noir.

Ainsi vêtue, caressant mes jambes afin d'éviter les plis sur le collant, j'eus un début d'érection qui me rappela que pour une fois je ne portais pas de cage de chasteté. Cette situation me terrifia à l'idée que j'éprouvais du plaisir à me travestir et à caresser mes jambes lisses, gainées de nylon.

Enfin je complétais ma tenue par une robe droite noire parfaitement à ma taille, qui me couvrait les jambes jusqu'aux genoux.

Le choix des chaussures fut plus délicat à cause de la pointure. En effet malgré une pointure quarante, tout à fait modeste pour un homme, je n'arrivais pas à chausser les souliers de pointure trente huit. Je dus me résoudre à choisir des sandales sans talons, seules à posséder une bride réglable, bien que les escarpins à petits talons soient sûrement plus au goût de Maîtresse et Madame.

Pour finir j'agrémentais le tout en nouant un petit tablier blanc autour de ma taille. Face à la grande glace de l'armoire, je me découvrais en véritable petite femme de chambre.

Chapitre 3

Soudain le bruit de la clef dans la serrure me fit sursauter. Maîtresse et Madame entrèrent dans la chambre. Madame tenait à la main sa cravache et Maîtresse un petit carnet. Madame d'un ton sec s'adressa à moi :

  • "Alors voyons ta tenue ! Comme je t'ai prévenue ta Maîtresse notera sur le carnet toutes les punitions que tu devras subir, il en sera toujours ainsi durant ton séjour. Les bons comptes faisant les bonnes amies, comme cela je n'oublierai rien ".

Je me tenais droite au centre de la pièce et Madame tournait autour de moi, utilisant le bout de sa cravache pour soulever ma robe afin de regarder mes dessous. Enfin Madame prit la parole s'adressant à ma Maîtresse :

  • "Notes bien Régine ! On va commencer par le bas. Une punition pour les chaussures, car Edith porte des sandales sans talon ".

Essayant de me défendre j'argumentais le problème de pointure :

  • "Mais Madame, c'était la seule paire à ma tailles et ... ".

Je n'eus pas l'occasion de finir ma phrase, la cravache de Madame me cingla les fesses et j'en reçue au moins dix coups. Madame ajouta :

  • "Une deuxième punition pour avoir répondue notes le bien Régine. Et toi Edith, écoutes bien, ici tu ne réponds que si l'on te pose une question. Rappelles toi, je t'avais dit de t'habiller avec goût pas en mémére, alors on continu. Tu ne portes pas de bas, une troisième punition. Encore moins de porte jarretelles, une quatrième punition. Ta robe est trop longue, une cinquième punition ".

Me faisant face Madame empoigna ma robe à l'encolure pour d'un geste vif l'arracher de manière à me dénuder les épaules et découvrir ma poitrine.

  • "Ton soutien gorge me semble bien peu rempli, donc une sixième punition ! ".

Puis Madame abaissa violemment ma robe sur mes chevilles, déchirant au passage le tablier que j'avais noué sur mes hanches. Je me retrouvais en slip, soutien gorge et collants, la robe à mes pieds ne sachant plus quoi dire de peur de recevoir des coups de cravache.

  • "Ta robe est déchirée, une septième punition. Ton tablier aussi, une huitième.

Et pour couronner le tout tu portes un slip sous tes collants ! Eh bien cela te fera neuf punitions ".

Madame se mit de la partie en renchérissant :

  • "Vraiment Edith tu me fais honte ! Pour la peine on arrondira à dix punitions et tu peux nous remercier d'être aussi bonne avec toi, c'est pour ton bien que Chantal fait ça ".

Immédiatement Madame m'ordonna de me déshabiller et de revêtir une autre tenue qui cette fois me serait imposée. Pendant que je me déshabillais, Madame me délivra ses conseils :

  • "Dans cette maison il faudra t'habiller sexy car tu le verras demain, j'ai un programme pour toi. Alors écoutes bien mes ordres et ne t'en écartes jamais. Une femelle de ton espèce ne doit porter que des bas et toujours avec porte jarretelles ou guêpière, à la limite les bas auto fixant sont tolérés dans certaines conditions mais jamais de collants.

Les bonnets de ton soutien gorge devront toujours être bien remplis afin de te donner une poitrine avantageuse. Ici pas de robes ou jupes à moins de dix centimètres au dessus du genou et que des souliers à talon ".

Une fois nue Madame me tendit des vêtements sortis de l'armoire. Tout d'abord une Guêpière que Maîtresse m'aida à régler, en la laçant très serré de manière à m'affiner la taille et faire ressortir mes hanches. Puis je dus enfiler un à un sur mes jambes épilées des bas de couleur rosé qui une fois tendu et jarretière me faisaient des jambes diaphanes.

Après cette étape l'habillage fut interrompu pour me poser la cage de chasteté sur le sexe. Maîtresse confiant au passage la clef à Madame. Madame passa d'ailleurs la clef dans la chaînette qu'elle portait autour du cou. A nouveau le sexe entravé je subis la première des dix punitions que je devais à Madame. Elle me la présenta ainsi :

  • "Tu devras porter durant quatre jours dans ton soutien gorge ou ta guêpière un bouquet d'orties formé en boule afin de remplir les bonnets de ta lingerie. Cela te donnera l'impression d'avoir une belle poitrine et ça te rendra le bout des seins érectiles. Enfin la douleur durant ces quatre jours te fera mourir d'envies d'avoir une paire de lolo bien à toi ".

Sa phrase terminée Madame me tendit un sachet remplie d'orties que je roulais en deux boules afin de remplir les bonnets de ma guêpière. La douleur et les picotements ne se firent pas attendre et immédiatement j'eus la sensation d'avoir les mains et le buste en feu.

Une fois cette première punition entamée, Madame me fit reprendre mon travestissement. Enfilant un string noir assortie au dessus des jarretelles. Madame me confia :

  • "Si je te demande de porter un slip, tu le porteras toujours ainsi. Comme cela s'il me prend l'envie de te faire trousser tu n'auras qu'à tomber la culotte sans avoir à dégrafer tes jarretelles, compris ? ".

Je balbutiais un :

  • "Oui Madame".

Ensuite vint le moment de chausser les souliers. Là à mon insu Maîtresse avait amené une des paires d'escarpins que je chaussais d'habitude à la maison. Il s'agissait d'une paire de chaussure rouge à petit talon haut de deux centimètres, que Maîtresse m'avait fait acheter il y a quelques mois. Sans difficulté je les chaussais en plongeant mes pieds gainés de voile dans le cuir de l'escarpin.

Devant le miroir de l'armoire je me découvrais métamorphosée. Mon corps ceint dans cette guêpière coquine et affriolante en dentelle noire et volantée, les jambes recouvertes de bas tendus par les jarretelles, les pieds plantés dans ces escarpins rouges et les cheveux décolorés, je m'éloignais de plus en plus de l'homme que j'étais.

Madame fit même remarquer à Maîtresse :

  • "C'est fou comme un soupçon de dentelle donne tant de féminité. Tu vas voir Edith durant ces cinq semaines, tu vas t'habiller en femme, penser comme une femme, te comporter comme une femme, réagir comme une femme, travailler comme une femme.

Une fois sortie de mon stage rien ne sera plus pareil, tu seras atteinte physiquement mais encore plus moralement, et il est fort à parier qu'avant fin août tu me demanderas de t'hormoner. Voir dans quelques mois tu supplieras ta Maîtresse de te faire opérer afin de t'ôter ta triplette ".

Ces mots me terrifièrent, en effet je repensais au plaisir que j'avais prise tout à l'heure en lissant mes collants et je mesurais le risque du conditionnement moral de ces séances de soumission. A force d'être travestie malgré moi, n'allais je pas y prendre goût ?

Je n'eus pas le loisir de réfléchir bien longtemps aux conséquences car Madame me tendait une robe en velours ras " de couleur bordeaux. Cette robe joliment galbée avec forme près du corps d'une longueur de quatre vingt centimètres acheva de me transformer, une fois enfilée.

Elle n'était pas bien longue et lorsque Madame me demanda de me déplacer en long et en large devant elle, le moindre déhanchement dut aux escarpins dévoilait la base de mes bas. Ce mouvement de hanches encore accentué par la guêpière qui me serré la taille sembla fortement au goût de Madame et Maîtresse qui se félicitaient de ma tenue et juraient de faire mieux lorsque j'aurais les cheveux permanentés et le visage maquillé comme une poupée. Leurs rires arrêtés Madame me dit :

  • "Comme tu t'étais habillée en bonniche, il me semble que tu aimes ça, alors tu vas être servie ici. Pour le reste de la journée voici ton programme ; tu sortiras les vêtements de ta Maîtresse de ses bagages en les repassant, tu donneras un coup de ménage dans la maison, la vaisselle, tu laveras mes dessous sales, je précise à la main et comme tu me dois des punitions, pour t'acquitter de la neuvième tu feras de la couture afin de réparer la robe et le tablier déchirés tout à l'heure. Nous partons ta Maîtresse et moi faire du shopping, lorsque nous rentrerons vers dix sept heures tout devra être terminé ".

Je répondais d'un :

  • "Bien Madame".

Et quittais ma chambre sans attendre afin de commencer les tâches qui m'étaient imparties. De toutes manières sans papier et vêtements masculins je ne pouvais décemment m'évader de cette maison. Tout le reste de la journée, la crainte de ne pas avoir fini, me fit presque oublier la démarche et le look ridicule que je devais avoir ainsi travestie.

Vers dix huit heures Madame et Maîtresse rentrèrent à la maison, arborant fièrement des sachets d'achats que Maîtresse avait réglé avec ma carte bancaire confisquée depuis des mois. Après inspection de la maison, mon travail étant accompli, j'eus le droit de manger un reste de pizza n'ayant pratiquement rien avalé depuis un jour. Puis Madame me conduit dans ma Chambre où une fois dévêtue Madame me fit revêtir une de ses nuisettes de couleur mauve avec de larges bretelles et un empiècement en dentelle extensible sous la poitrine, la base de cette nuisette étant finement volanté.

Une fois que Madame m'eut enfermée dans ma chambre, j'eus beaucoup de mal à m'endormir, la douleur des morsures d'orties toujours présente au niveau de ma poitrine. Mais il fallait bien profiter de ce moment de répit car Madame m'avait prévenu, une surprise m'attendait en fin de matinée et mon dressage allait s'intensifier dès le lendemain

Chapitre 4 - 3ème jour Dimanche 27 Juillet 2003 Ma première permanente

La nuit du samedi au dimanche me permit de me reposer seul le frottement de la nuisette sur ma poitrine réveilla de temps à autre la douleur. Vers huit heures le bruit de la clef dans la serrure me réveilla. C'était Madame qui s'introduisait dans ma chambre me dictant de suite :

  • "Debout Edith ! Je te laisse la salle de bain pendant trente minutes et je viendrais contrôler, n'oublies pas mes instructions d'hier ! ".

Rassemblant mes vêtements portés la veille je pris la direction de la salles de bain en acquiescent un timide :

  • "Oui Madame ".

Une fois seule je fis rapidement couler un bain. Pendant ce temps j'en profitée pour me raser les joues de près découvrant par la mme occasion ma tête de véritable travelo. J'avais le visage ombré par la barbe et la moustache naissante qui contrasté avec ma chevelure blonde mal coiffée.

Une fois le visage rafraîchi je me remémorais le discours de Madame la veille, et une fois dans la baignoire je décidais de passer rapidement un coup de rasoir sur mes jambes, mes aisselles, mon torse et mon anus, ôtant tous poils naissant qui auraient pus subsister. Le rinçage à l'eau clair fut pour moi l'occasion de caresser mes jambes redevenues douces et lisses. Seul mon sexe entravé par la cage de chasteté échappa au passage du rasoir.

Une fois sortie de la baignoire et séchée, je m'empressais de revêtir ma guêpière, les bas, le string et la robe.

La tenue ajustée me rappela que je n'avais pas pris les orties et pire encore j'avais quitté la chambre précipitamment pieds nus, de ce fait je n'avais pas d'escarpin. De toute manière j'étais enfermée dans la salle de bain, il était hors de question de sortir les chercher, je devais me faire une raison, j'allais sûrement être punie une fois de plus.

Je n'eus pas longtemps à attendre car quelques minutes après Madame et Maîtresse arrivèrent dans la salle d'eau. Madame tenait à la main un paddle et prit la parole :

  • "Tu n'es vraiment pas raisonnable Edith, tu dois savoir qu'une femme digne de ce nom ne porte pas les même dessous deux jours de suite, tu te comportes comme une véritable souillon. Allez ! Ôtes moi cette tenue ! Il t'en coûtera une punition ".

J'exécutais son ordre en pensant que de toute façon quoi que je fasse, j'allais devoir subir les réprimandes et brimades. Une fois la robe et le string retirés, les jarretelles dégrafées, au moment où j'allais enlever ma guêpière Maîtresse fit remarquer à Madame :

  • "Tu as vu Chantal, elle n'a même pas remis les orties, tu avais pourtant dit durant quatre jours ! Et elle n'a pas chaussée ses escarpins ! ".

Madame agacée me laissa enlever la guêpière puis s'adressa à moi :

  • "Ton compte de punition est à peine retombé à huit que tu en reprends trois. C'est trop ! Dorénavant passé dix tu devras t'acquitter immédiatement des punitions suivantes, je les convertirais en vingt coups de paddle par punitions. Donc huit et trois font onze, vingt coups sur tes fesses ! ".

Madame me fit asseoir à califourchon sur le bord du pouf devant la coiffeuse, la tête baissée en avant, la croupe bien en arrière, je dus compter un à un les vingt coups de paddle pour cette punition. Les coups pairs étant donnés par Madame, les impairs par Maîtresse.

Sous la violence des coups, au fur et à mesure on pouvait voir mes bas qui n'étaient plus maintenus, glisser sur mes chevilles. La punition terminée, j'avais les fesses recouvertes de boursouflures rouges et douloureuses. Madame me fit signe de retirer complètement mes bas et contrôla la douceur de ma peau en passant la paume de sa main sur mes jambes. Puis sortie quelques instant de la salle de bain, et elle revint en me demandant :

  • "Heureusement que je pense à tout. Hier comme tu nous as si gentiment donné ta carte bancaire, nous en avons profité pour t'acheter un peu de lingerie à te taille ".

Elle me jeta au visage un sachet et me commanda :

  • "Enfiles ça, il faut que tu sois belle aujourd'hui et puis saches que tous les soirs avant de te coucher il faudra que tu laves à la main ta petite culotte, tes bas et autres dessous, et surtout en changer le lendemain ".

Dans le sachet, il y avait une guêpière, un string et des bas. Il s'agissait d'une lingerie sexy au subtil mariage du bleu en maille brillante et de la dentelle raffinée. J'enfilais la guêpière à armatures avec application de dentelle noire devant et sur les bonnets. Elle ne possédait pas de bretelles mais au moins six baleines souples et un nœud satin à l'entre deux. J'enfilais aussi avec précaution les bas voile posant un à un mes pied sur le pouf.

Ils étaient noirs avec incrustation d'un large bande de dentelle à la base, je dus d' ailleurs pour les tendres régler les jarretelles. Quand au string il était assorti à la guêpière avec lui aussi incrustation de dentelle et nœuds satins fantaisie à la taille. Une fois habillée Madame me fit asseoir sur le pouf devant la coiffeuse et dit :

  • "Comme promis, permanente ce matin. Je vais te faire Edith une tête bouclée comme un caniche ".

J'avais espéré que la décoloration d'hier aurait suffit à Madame, pourtant Madame avait décidais de pousser à fond l'humiliation. Devant la glace de la coiffeuse, Madame enroula une à une mes mèches sur des bigoudis. Elle utilisa des bigoudis de toutes les tailles, gros sur le haut du crâne plus petit sur le tour, le front et la nuque.

Le travail terminé alors que Madame versait le produit à permanente sur mes cheveux, je me regardais dans le miroir la tête recouverte de bigoudis façon petite femme d'intérieure. J'avais l'habitude de me voir ainsi car pour nos séances du dimanche soir Maîtresse me faisait toujours porter une perruque avec bigoudis. Selon Maîtresse le port d'une telle perruque devait me faire connaître toutes les facettes d'une femme au foyer.

J'eus tout loisir de méditer cette pensée, car Madame m'enveloppa les cheveux dans un casque séchoir souple et j'attendis ainsi le séchage et la prise de la permanente durant quarante cinq minutes, la douleur des coups de paddle m'obligeait à me trémousser sur le pouf de temps en temps.

Cette fois-ci il fallait bien l'admettre une fois les bigoudis retirés, il ne s'agirait plus d'une perruque mais de mes véritables cheveux blonds et bouclés pour un bon moment. De temps en temps Maîtresse retirer un coin du bonnet afin de contrôler la prise de la permanente et redémarrait aussitôt le séchoir prétextant que je n'étais pas assez bouclée.

Enfin au bout d'une petite heure Madame masqua le miroir devant moi avec un drap de bain, comme hier et commença à ôter un par un les rouleaux. Je devais avoir l'air ridicule car avant le coup de peigne Maîtresse pris quelques photos en souvenir de moi.

Madame et Maîtresse semblaient s'amuser beaucoup en utilisant peignes, brosses et ciseaux afin de me sculpter une tête de femme fatale. Madame utilisa également la tondeuse électrique afin de me dégager la nuque. Une fois les cheveux laqués, comme le fit remarquer Madame à Maîtresse, ce fut le moment de l'inauguration. Madame retira le drap de bain qui occultait le miroir et je découvris ma nouvelle tête.

Faute d'avoir les cheveux assez long Madame avait opté pour un look Marylin Monroe. Ce fut un choc de me découvrir ainsi. Passer de la coupe mi-longue type Jean Jacques Goldman à celle de Marylin, il me fallut une bonne dose de courage pour l'accepter.

Pendant ce temps Maîtresse était partie chercher de nouveau un bouquet d'orties afin de remplir les bonnets de ma guêpière et par la même occasion continuer ma punition. Je roulais en deux boules les orties, les plaçant sur ma peau encore marquée de la veille. Madame me fit remarquer pour se moquer :

  • "J'ai pris du quatre vingt quinze C, car je sais que tu apprécies d'avoir une poitrine généreuse ".

Une fois le buste ajusté, Madame me fit revêtir une nouvelle robe. Il s'agissait d'un robe patineuse noire assez courte, environ quatre vingt dix centimètres mettant joliment mon dos en valeur. Le haut forme bustier avec bretelles croisées sur le dos nu. Elle était entièrement boutonnée devant, permettant de l'enfiler sans me décoiffer comme le fit remarquer Madame. Je chaussais pour terminer mes escarpins.

Madame et Maîtresse étaient ravies de ma transformation. Madame me fit arpenter la salle de bain pour admirer son œuvre, me contraignant à rouler des hanches avec de petits coups de paddle sur celle ci, avant de me faire regagner le pouf pour une première leçon de maquillage.

Une fois assise, la forme de la robe ne cachait que difficilement la base dentelle de mes bas.

Madame me dicta la marche à suivre :

  • "Je vais te donner une leçon de maquillage Edith, regardes bien ! Car demain il te faudra être en tenue et maquillée avant mon réveil. Pour ce dimanche je vais te le faire. Tout d'abord une base de fond de teint fluide ocre, un fard à paupière bleu, la base des cils soulignés d'un trait de crayon bleu marine. Les cils allongés au maximum avec du mascara bleu électrique. Un soupçon de fard à jour rose estompé au pinceau. Les lèvres joliment ourlées recouvertes d'un rouge profond. Pour finir un fin trait de crayon sur tes sourcils pour le moment. Je te les épilerais afin de les redessiner plus tard car il est déjà onze heures et nous allons avoir de la visite ".

La séance de maquillage était arrivée à sa fin. J'étais désormais réellement Edith, une femme ultra maquillée, à la tenue sexy et aux allures de pute. Ce que Maîtresse n'oublia pas de me faire comprendre :

  • "Fini le Bruno embourgeoisé et fier de sa réussite, je te l'avais promis, tes vacances chez Chantal vont te faire le plus grand bien. Te voilà transformée en Edith la bonniche, pute à ses heures, ultra féminine et qui bientôt réclamera sa saillie quotidienne ".

En effet ainsi vêtu robe courte, des bas noirs, le visage fardé et les cheveux décolorés je m'éloignais de plus en plus de l'homme que j'étais pour basculer dans la soumission et l'humiliation la plus totale.

La matinée se termina pour ma part par la vaisselle du petit déjeuner et la préparation du repas du midi.

A suivre ici
Lire la suite : Comment faire de votre mari un Travesti docile 2
Cette saga commence bien !
J'adore le début, je sens que cette histoire va me plaire ! ! !
J'adore aussi, ça sent déjà l'histoire qui ne s'oublie pas. Cinq semaine houaouuuuuuu !
Excellent début, je sens que ce récit va me plaire
Publicité en cours de chargement